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Borderlands 4 – Le grand retour d’un Brutasse en puissance

Ruben Dias by Ruben Dias
14 septembre 2025
in News, Test
Borderlands 4 – Le grand retour d’un Brutasse en puissance
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Il y a des sagas qui marquent à vie, et pour moi, Borderlands fait partie de celles-là. J’ai encore en mémoire mes premières heures passées sur Borderlands 2, ce mélange explosif de loot frénétique, de personnages délirants et d’action survitaminée. Mais soyons honnêtes : après des hauts grandioses et quelques bas plus timides, la série avait besoin d’un nouvel élan. Borderlands 3 m’avait laissé un sentiment mitigé, et même si Tiny Tina’s Wonderlands m’avait amusé, il n’avait pas su tenir la distance sur la longueur. Alors, quand Gearbox a officialisé Borderlands 4, j’étais à la fois excité et prudent. Après avoir passé des dizaines d’heures dessus sur ma PlayStation 5, je peux le dire sans détour : le Brutasse est de retour, et quel retour !


Une histoire qui renoue avec l’essentiel

L’aventure de Borderlands 4 m’a immédiatement replongé dans l’univers que j’aime tant. Exit Pandora, cette fois nous partons pour Kairos, une planète mise en lumière par la réapparition de la lune Elpis. Mais tout n’est pas si simple : cette arrivée fracassante brise le dôme protecteur qui dissimulait Kairos, et met la planète sous le joug du terrible Gardien du Temps et de ses trois lieutenants. Comme souvent, le rôle de notre Chasseur de l’Arche est clair : accompagner une rébellion locale, faire sauter les verrous imposés par ce tyran, pulvériser ses lieutenants et, bien sûr, mettre la main sur l’Arche et ses richesses.

Ce qui frappe rapidement, c’est le soin apporté à l’écriture. Contrairement aux Calypso du troisième opus, les antagonistes de Borderlands 4 ont une vraie épaisseur. Ils ne sont pas seulement cruels pour être cruels : ils justifient leurs actes, ils croient réellement à leur légitimité, ce qui rend leur affrontement d’autant plus savoureux. Certes, le boss final aurait mérité un peu plus de profondeur, mais l’ensemble tient largement la route. L’histoire se suit avec plaisir, et même les nouveaux venus pourront s’y plonger sans difficulté grâce à un habile équilibre entre références aux épisodes passés et volonté de repartir sur des bases fraîches.

J’ai particulièrement apprécié ce retour à une échelle planétaire. Pas besoin de sauter d’un monde à l’autre comme dans Borderlands 3 : ici, tout se concentre sur Kairos et ses quatre grandes régions, avec une exploration fluide, sans chargements parasites. Cette décision rend l’aventure plus cohérente, plus immersive, et j’ai ressenti une vraie liberté à explorer cette planète vivante et dangereuse.


Un humour retrouvé, un univers plus sombre

L’autre grande réussite de Borderlands 4, c’est son ambiance. Gearbox a su retrouver la formule qui avait fait le succès du deuxième opus : un humour noir, grinçant, qui alterne entre moments complètement absurdes et instants plus sombres, plus pesants. On est loin des blagues potaches parfois forcées du troisième épisode. Ici, chaque réplique, chaque rencontre sonne juste.

Je pense notamment à Héliosséide, l’un des lieutenants du Gardien du Temps, qui m’a rappelé un baron Harkonnen aussi grotesque que terrifiant. L’univers transpire la folie, mais jamais gratuitement. Même si aucun antagoniste ne peut égaler le légendaire Beau Jack, Borderlands 4 réussit à proposer un casting mémorable et des alliés hauts en couleur.


Un gameplay survitaminé

Mais le vrai cœur de Borderlands 4, c’est évidemment son gameplay. Et là, quel choc ! Après avoir repris en main Borderlands 3 par curiosité, je me suis rendu compte à quel point cet épisode avait vieilli. Borderlands 4 fait table rase et apporte une énergie nouvelle.

Les déplacements sont désormais d’une vivacité folle : glissades, double saut, dashs latéraux ou arrière, vol plané, et surtout… l’arrivée tant attendue du grappin. Cet outil ouvre de nouvelles possibilités incroyables : accrocher des parois pour prendre de la hauteur, lancer des barils explosifs sur les ennemis, interagir avec le décor pour varier les affrontements… C’est grisant. Les combats deviennent des chorégraphies explosives, où l’on alterne tirs frénétiques, sauts spectaculaires et coups de grâce dévastateurs.

Et que dire des armes ? La variété est toujours aussi démentielle, avec des trouvailles complètement barrées : un sniper qui tire des roquettes, un pistolet qui devient une bombe rampante une fois lancé, ou encore un fusil d’assaut à la cinquième élément. Chaque nouvelle trouvaille est un petit cadeau, et le sound design accentue encore cette impression de puissance. Jamais Borderlands n’a offert une telle sensation de fluidité et de force brute.


Le plaisir du loot

Bien sûr, Borderlands ne serait pas Borderlands sans son système de loot. Gearbox a ici trouvé un juste équilibre : fini la distribution trop généreuse de Borderlands 3, où les armes légendaires pleuvaient trop vite. Dans Borderlands 4, chaque objet rare se mérite vraiment. Quand un rayon violet ou orange brille au sol, c’est l’excitation garantie. On retrouve ce petit frisson qui rend chaque combat important.

Autre confort bienvenu : la possibilité de ramasser instantanément tout l’équipement de faible valeur et de le convertir en camelote à la vente. Plus besoin de passer des heures à trier son inventaire. Un petit détail, certes, mais qui fluidifie énormément l’expérience.


Un contenu massif et un endgame solide

En ligne droite, il m’a fallu une vingtaine d’heures pour boucler l’histoire principale. Mais ce serait une erreur de s’arrêter là. Avec ses quêtes annexes, ses donjons, ses primes, ses secrets disséminés partout, Borderlands 4 propose facilement quatre fois ce temps de jeu. Et le endgame est particulièrement généreux : le mode Chasseur de l’Arche ultime décliné en plusieurs niveaux de difficulté, les défis hebdomadaires proposés par Moxxi, les combats de boss rejouables… Tout est pensé pour garder les joueurs investis.

C’est un véritable puits sans fond, où chaque session nous donne envie de revenir pour “juste un dernier combat”.


Technique et direction artistique

Visuellement, Borderlands 4 reste fidèle à son style cell shading, mais avec une finesse accrue. Les décors de Kairos sont détaillés, variés, et la direction artistique sublime l’ensemble. Sur PlayStation 5, le jeu tourne globalement bien, même si j’ai pu observer quelques bugs habituels pour la série : textures qui apparaissent un peu tard, ennemis qui flottent bizarrement, ou encore quelques ralentissements. Rien qui gâche réellement le plaisir, et les patchs correctifs annoncés devraient rapidement lisser l’expérience.


Quelques réserves… mais vite oubliées

Bien sûr, tout n’est pas parfait. Certaines quêtes secondaires reprennent des schémas classiques (récupérer un objet, nettoyer une zone…), certains boss sont un peu trop résistants et peuvent rallonger artificiellement les combats, et l’équilibrage en solo n’est pas toujours optimal face à des adversaires qui deviennent de véritables “sacs à balles”. Mais ces petits bémols sont vite compensés par l’excellence du reste : en coop, ces mêmes combats deviennent épiques, et la dynamique de groupe balaie toute frustration.


Conclusion : un retour en fanfare

Avec Borderlands 4, Gearbox réussit un pari difficile : renouer avec l’esprit des premiers épisodes tout en modernisant la formule pour l’adapter aux standards actuels. L’histoire est prenante, le gameplay explosif, l’humour bien dosé, le loot excitant et le contenu massif. Malgré quelques imperfections techniques et une structure parfois classique, l’expérience reste magistrale.

En tant que fan de la première heure, j’ai retrouvé ce que j’attendais depuis longtemps : un Borderlands qui me donne envie de jouer encore et encore, de rire, de m’émerveiller devant ses trouvailles et de m’acharner sur ses boss jusqu’au bout de la nuit. Borderlands 4 n’est pas seulement un bon jeu : c’est une célébration de tout ce qui rend cette saga culte.


Tags: 2K GamesBorderlands 4TestTop Story

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